Le sacrement du Pardon est loin de recueillir toute l’estime qu’il mérite. Don de l’Amour infini, il est, comme lui, méconnu. Pourquoi faut-il que ce cadeau inimaginable du Ressuscité partage encore les ignominies du Crucifié ? La foi ne suffit-elle plus à nous en révéler les richesses, et l’exemple des saints à nous y attacher ? L’explication est simple : le serpent qui, à l’origine, provoqua la rupture entre l’Amour et l’homme ne se résignera jamais à tolérer ce signe efficace de la miséricorde, institué précisément pour assurer notre perpétuel « renouveau » avec Dieu.
Le sacrement du Pardon est loin de recueillir toute l’estime qu’il mérite. Don de l’Amour infini, il est, comme lui, méconnu. Pourquoi faut-il que ce cadeau inimaginable du Ressuscité partage encore les ignominies du Crucifié ? La foi ne suffit-elle plus à nous en révéler les richesses, et l’exemple des saints à nous y attacher ? L’explication est simple : le serpent qui, à l’origine, provoqua la rupture entre l’Amour et l’homme ne se résignera jamais à tolérer ce signe efficace de la miséricorde, institué précisément pour assurer notre perpétuel « renouveau » avec Dieu.