Si c’était nous qui avions pris l’initiative d’aimer Dieu, nous pourrions craindre qu’il refuse notre amour, mais comme c’est lui qui nous a aimés le premier, nous ne pouvons plus craindre à ce sujet. « Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres, puisque l’amour est de Dieu et que quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu. Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour. » Aimer n’est pas affaire de pur sentiment, mais de volonté – je ne dis pas de volontarisme -, et j’entends par volonté cette faculté affective qui est pour ainsi dire la force volitive de notre être avec tous ses désirs et puissances.
Si c’était nous qui avions pris l’initiative d’aimer Dieu, nous pourrions craindre qu’il refuse notre amour, mais comme c’est lui qui nous a aimés le premier, nous ne pouvons plus craindre à ce sujet. « Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres, puisque l’amour est de Dieu et que quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu. Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour. » Aimer n’est pas affaire de pur sentiment, mais de volonté – je ne dis pas de volontarisme -, et j’entends par volonté cette faculté affective qui est pour ainsi dire la force volitive de notre être avec tous ses désirs et puissances.
